Enfin on remonte le tout histoire de voir le résultat final ( visuel et sonore). Pour les Bouton j'ai choisi des boutons type Fender avec un finition en nacre. J'avais envie également de sortir des sentiers battus pour le tirant des cordes. D'une manière générale le tirant habituel est 045 - 065 - 085 - 105. Cette fois je tente du 035 - 055 - 085 - 105. Le très faible tirant pour les cordes RE et SOL apporte un brillance beaucoup plus accentuée que pour un tirant classique. J'aime bien et je ne suis pas déçu. Voilà C'est terminé. Il faut juste réglé la hauteur des cordes, celles des micros, ajuster les harmonies.

Je suis assez content du résultat même si j'ai fait quelques erreurs lors du travail sur le corps. Je mettrai dans quelques temps un fichiers MP3 pour que vous puissiez écouter le résulat sonore de cette ARIA CTB PASSIVE relookée.

La basse était passive et elle le restera. J'ai opté pour une configuration type Standard P-J Bass. C'est à dire un bouton de volume par micros et une tonalité générale. Je voulais changer les micros d'origine qui douvent être moyen par des CREL mais pour l'instant j'ai monté ceux d'origine. Pas de problème particulier pour le câblage. J'ai quand même remplacé les potentiomètres d'origine par des neufs car la piste carbone s'use avec le temps. J'ai donc acheté : 2 potentionètres 250K log et un 250K linéaire pour la tonalité sans oublier le condo de 22nf.

Le manche à été peint de la même couleur que le corps. Il faudra juste que je reprenne propore le logo ARIA PRO II. Puisqu'il était démonté j'en ai profité pour le régler. Les frettes sont en bonne état et touches sont parfaite.

Cela faisait longtemps que je n'avais pas touché cette basse. Par manque de temps, d'argent... d'envie aussi.
J'ai protégé les touches à l'aide de scotch. J'ai malheuresement poncé une partie du logo ARIA PRO II. Dommage je voulais le conserver. Je vais être obligé de le refaire et je ne sais pas vraiment comment car découper un pochoir me semble hasardeux.
J'ai choisi de peindre également l'ensemble en bleu métallisé. J'essaierai de reproduire la rose sur le manche en travers des touches vers la 12ème frette.

Lors de la dernière phase je me suis rendu compte que je pouvais pas faire une finition vernie pour faire ressortir les veines du bois. J'ai donc changé mon fusil d'épaule et j'ai opté pour une peinture métallisée de couleure bleue avec un rose argentée réalisé à l'aide d'un pochoir. Je regrette d'avoir poncé le corps jusqu'au bois. J'aurai pu simplement rayer la laque, celle-ci servant de support et le rendu aurait été meilleur.
Après plusieurs couches voici le résultat

Je n'avais pas donné de nouvelles depuis le 14 Juillet 2006. Enfin je suis venu au bout du corps de la basse, mais non sans mal. Le réultat est décevant. Comme toutes les basses bas de gamme le corps n'est pas en bois massif mais en couches collées les une sur les autres avec une finition de quelques dixièmes de millimètres de bois noble sur la table d'harmonie. Du coup je ne sais pas encore si je vais tenter un verni sachant que le résultat ne sera pas à la hauteur des espérances ou bien si je dois me tourner vers un autre type de finition. Quoi qu'il en soit je vous livre une photos du résultat. En revanche si vous avez des idées... je suis preneur.

Enfin je me suis attaqué au ponçage du corps de la basse. J'avoue que je ne savais pas vraiment comment m'y prendre. J'avais envisagé d'utiliser un sécapuer thermique. Cela aurait sans doute déterioré les fibres du bois. Ensuite je pensais utiliser une solution produit chimique mais j'ai eu peur encore une fois que le bois en prenne un coup. Il ne restait donc qu'une seule solution : le ponçage.
J'ai commencé par utiliser une ponçeuse avec du papier de 60. Cela a tout juste rayé la première couche de verni. Par la suite j'ai utilisé du papier avec un grain de 50 mais cette fois un faisant un ponçage énergique à la main. C'est long... très long.
Le ponçage laisse apparaitre des marques internes dans la veines du bois. C'ets ce que je craignais car même avec une couche de verni de couleure naturelle, celles-ci resteront. Je réfléchi à la manière d'exploiter ces marques.
Lorsque j'aurais terminé de décaper le bois, je poncerai avec un papier de 120, puis de 360 pour la finition.
En attendant souhaitez moi bonne courage.

Les différentes étapes du ponçage. On peut observer la grande veine sombre.

Après avoir réaliser le pochoir sur du bristol un peu épais, j'ai pu passé à la phase de test de ce dernier. Pour ce faire j'ai utilisé un bout de planche. J'aurai aimé pouvoir utiliser un bour de bois proche de celui du corps de la basse mais bon... Je l'ai fixé avec du scotch TESA en essayant de le faire plaquer un maximum pour éviter les bavures. Pour le mode de peinture j'ai choisi la bombe aérosol pour éviter des frais ne pinceaux qui ne m'auraient servis qu'une seule fois. Il y a reste dorénavant trois questions auxquelles j'aurai une réponse après une nuit de séchage. Premièrement : Est-ce que le pochoir sera suffisamemebnt épais pour éviter que la peinture passe à travers ? Deuxièmement : Est-ce qu'une couche suffira t-elle ? Troisièmement : Est-ce le pochoir était suffisament plaqué contre le bois. Petite apréhension au moment de retirer le pochoir. Le pochoir est suffisamment épais mais malheuresement pas très bien plaqué. Ceci explique l'effet "nuage" au lieu d'avoir un contour propre et net. Cependant le rendu visuel est vraiement symphatique. Je vais donc garder ce motif. je tacherai de bien faire plaquer le pochoir lors de la pose sur le corps de la basse

Essais de pochoir

Comme je l'avais annoncé dans le message d'introduction, je souhaitais avoir un motif sur le corps de la basse. J'avais imaginé dans un premier temps d'utiliser le logo ARIA actuel. L'utilisation de ce logo me posais deux problèmes; le premier étant d'odre chronologique. En effet il aurait été préférable d'utiliser le logio de l'époque ARIA PRO II (Cf la bannière du blog). Seulement voilà ce dernier étant pas facile a reproduire que se soit en pyrogravure ou que se soit en pochoir. Le second étant lui d'un point de vue légal, je n'étais pas sur non plus de pouvoir utilier un logo des années 2000 sur une basse des année 80 ! Du coup j'ai choisis un motif plus neutre : une rose stylisée. Elle sera aposé dans le coin inférieur bas de la basse en noir.
Pour cela il faut faire un pochoir. J'ai donc imprimé sur une feuille bristol assez rigide ma rose à l'echelle voulue, puis j'ai détouré le tout. Il me reste plus qu'a faire un essai de peinture sur une planche en bois afin de valider d'une part le rendu graphique et d'autres parts si le pochoir de fera pas de coulures.

Pochoir après détourage

je suis décidé, ce soir devant le match ITALIE - GHANA je démonte entièrement la basse.

Je commence par déposer la trappe d'accès à l'électronique. Celle-ci est cablée comme sur mon ASB-65, aussi je ne perds pas de temps à faire un relevé. Je coupe rapidement les fils et basta ! Ceci dit, il y  a de forte chance que je câble différement. Je démonte ensuite les micros en faisant bien attention de ne pas perdre les ressorts necéssaire pour le réglage de la hauteur de ces derniers par rapport aux cordes. Ensuite c'est au tour du chevalet, manque de pot une vis casse à ras du bois. Je m'en sors avec une pince et un peu (beaucoup) de patience. Remarquer le trou de passage pour la masse générale que se fait au dos du chevalet.
Je m'occupe ensuite des potentiomètres et du switch. Je vérifierai plus tard l'état exact de ces composants à l'aide d'un multimètre.
Enfin je désolidarise le manche du corps et je dépose les mécaniques type bain d'huile.
A peine le temps d'un souvenir d'un effeuillage que la belle se retrouve rangée. La prochaine étape sera le ponçage du corps afin qu'elle puisse revêtir sa nouvelle robe couleur miel.

Vue arrière de l'electronique - Vue de face de la dépose des micros - Vue générale lors de la dépose totale